Dana Edmonds

La Galerie Jano Lapin offre un programme de résidences artistiques offert à deux artistes pour une période de 6 mois. Commanditées par Desjardins, ces résidences permettent aux artistes de poursuivre leurs recherches dans un environnement stimulant, entourés d’une Galerie d’art et de plusieurs ateliers, le tout ponctué de rencontres avec divers acteurs du milieu artistique Québécois.  Lien vers le programme de résidence est ici.  

Dana Edmonds

Artiste en résidence pendant l’été et Automne 2022

Bio (FR)

Dana Edmonds une pratique multidisciplinaire équilibrée entre peinture et graphisme + web design. Née à Montréal, où elle vit et travaille actuellement, Dana a obtenu son baccalauréat en -Beaux-arts en beaux-arts du Nova Scotia College of Art and Design University, Halifax (1990). Elle a également envisagé le design graphique au Collège Dawson et l’éducation artistique à l’Université McGill. Son travail a été présenté dans des expositions individuelles et collectives au Canada et aux États-Unis, notamment One Earth, One Chance à la Rebecca Gallery, Toronto (2016), Show Your World à la Gallery MC New York, New York (2016) , l’Ontario Society of Artists Exhibition au Neilson Park Creative Centre, Toronto (2016) et I am NSCAD à la Anna Leonowens Gallery, Halifax (2015).

Déclaration de l’artiste (FR)

Dana Edmonds utilise la peinture à l’huile pour explorer différentes formes de déchets urbains et étudier les

relation entre la surconsommation et ses effets sur les problèmes de santé mentale, à savoir la dépendance,

thésaurisation, anxiété et dépression. La nouvelle série de Dana, une collection de signes, de textes et de symboles, ajoute une allure chaotique. Tissant une relation entre nature et culture, ces images réduisent les modes de consommation à des époques et des espaces différents et la réalité physique de la vie quotidienne.

Cette nouvelle série renégocie la peinture dans le cadre d’un commentaire réactif sur les enjeux environnementaux et les représentations de la nature dans la société contemporaine. Démontrer la persistance omniprésente d’un monde matérialiste à travers ces paysages, afin de développer des formes qui ne suivent pas de critères logiques, mais préfèrent plutôt des associations subjectives et des formes parallèles. uisant à partir de photographies numériques plutôt que de souvenirs réels, le processus de Dana renforce et remet en question cette esthétique de la distance. Dans quelle mesure connaissons-nous intimement notre environnement choisi etssons-nous d’ignorer ce qui est valorisé par rapport à ce qui est jeté En explorant le concept de conversion du grotesque en beau, profitons de l’

Bio (EN)

Dana Edmonds a une pratique multidisciplinaire équilibrée entre peinture et graphisme + web design. Née à Montréal, où elle vit et travaille actuellement, Dana a obtenu son baccalauréat en beaux-arts du Nova Scotia College of Art and Design University, Halifax (1990). Elle a également étudié le design graphique au Collège Dawson et l’éducation artistique à l’Université McGill. Son travail a été présenté dans des expositions individuelles et collectives au Canada et aux États-Unis, notamment One Earth, One Chance à la Rebecca Gallery, Toronto (2016), Show Your World à la Gallery MC New York, New York (2016), l’Ontario Society of Artists Exhibition au Neilson Park Creative Centre, Toronto (2016) et I am NSCAD à la Anna Leonowens Gallery, Halifax (2015). Elle a récemment reçu un prix du Conseil des arts du Canada pour produire une série de nouvelles peintures.

 

Déclaration de l’artiste (EN)

Dana Edmonds utilise la peinture à l’huile pour explorer différentes formes de déchets urbains et pour étudier la  relation entre la surutilisation et ses effets sur les problèmes de santé mentale, à savoir la dépendance, la thésaurisation, l’anxiété et la dépression. La nouvelle série de Dana, une collection de signes, de textes et de symboles, ajoute une allure chaotique. Tissant une relation entre nature et culture, ces images reflètent les modes de consommation à des époques et des espaces différents et la réalité physique de la vie quotidienne.

Cette nouvelle série renégocie la peinture dans le cadre d’un commentaire réactif sur les enjeux environnementaux et les représentations de la nature dans la société contemporaine. Démontrer la persistance omniprésente d’un monde matérialiste à travers ces paysages, afin de développer des formes qui ne suivent pas de critères logiques, mais reposent plutôt sur des associations subjectives et des parallèles formels. uisant à partir de photographies numériques plutôt que de souvenirs réels, le processus de Dana renforce et remet en question cette esthétique de la distance. Dans quelle mesure connaissons-nous intimement notre environnement et choisissons-nous d’ignorer ce qui est valorisé par rapport à ce qui est jeté En explorant le concept de conversion du grotesque en beau, attirer l’attention sur ces questions et préoccupations incite le spectateur à créer de nouvelles associations personnelles entre l’art, la vie quotidienne et la culture de masse.